Home mama yéo
Fièvre, la fièvre me prend
Sa main maniant la faucille au hazard
La fièvre me prend
Tu es comme le chêne liège que l’on dépouille de son écorce et que l’on laisse
Et que l’on blesse
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Nul ne sait, et le vent a soufflé
Sur le chêne-liège blessé
Les slaves ont noyé tes songes et moi le mensonge me ronge
Tu cherches les tiens dans une poignée de sable
Que la fièvre apporte la réflexion au fou qui sans honte abéit aux ordres
sombres
Lorsque la haine préside
Dans le noir pleurent les sylphydes !